vendredi 29 juillet 2011

"Moins on existe, plus on est de trop". (Romain Gary)

Citation que je mets là, de peur de l'oublier.

jeudi 28 juillet 2011

Existence dénuée d'espoir. Il faut vivre pour soit, et ne pas attendre des autres des quelconques signes d'affection qu'ils ne nous doivent pas. Rester seule et combler sa solitude à l'aide de valeurs sures. S'en remettre à soi-même. Et rêver.


Rêver de tout casser dans un flamboiement magnifique de couleurs et de matières, faire rejaillir la joie qui semble si bien enfouie dans la vie. Faire la guerre ; et en se battant, l'amour.

mercredi 27 juillet 2011

Un enfer pavé d'étoiles sur lequel il est tellement difficile de capturer un sourire.

dimanche 24 juillet 2011

Curieux paradoxe : les journées les plus longues sont celles qui passent le plus vite...

samedi 23 juillet 2011

Ma vie est remplie, mais mon âme est vide.

Je ne m'enflamme plus pour personne, aucun être ne fait battre mon coeur, je ne cherche plus à être aimée de qui que ce soit, si ce n'est de moi-même.

jeudi 21 juillet 2011

Il y a cette pression au fond de moi, ce battement précipité de mon cœur, quand je sens qu'on me délaisse. Je voudrais qu'on m'aime et que l'on pense à moi sans cesse.

Puisqu'il m'est impossible de faire mieux et qu'il traduit si bien mon état d'esprit


Tristesse


 

J'ai perdu ma force et ma vie,

Et mes amis et ma gaîté;

J'ai perdu jusqu'à la fierté

Qui faisait croire à mon génie.

 
5Quand j'ai connu la Vérité,

J'ai cru que c'était une amie;

Quand je l'ai comprise et sentie,

J'en étais déjà dégoûté.

 

Et pourtant elle est éternelle,
10Et ceux qui se sont passés d'elle

Ici-bas ont tout ignoré.

 

Dieu parle, il faut qu'on lui réponde.

— Le seul bien qui me reste au monde

Est d'avoir quelquefois pleuré. 
Tout était écrit. Il suffisait de lire entre les lignes.

mercredi 20 juillet 2011

"Je leur ai dit qu'on cultivait un champ de coccinelles"

Au fond, IL a raison. ILS ont tous raison. Je me détériore au contact de ces créatures monstrueuses qui me bouffent. Au lieu de les fuir, je me précipite dans leurs pièges. Il faut retrouver la pureté, la sincérité et l'amour. Cela ne s'obtient pas sans confiance.

Merci de ses quelques mots qui aident à y voir plus clair. Il existe encore des gens biens dans ce bas monde.

Chacun des mes faux pas est une balle qui vient me frapper en plein coeur. Je me désintègre, et suis la seule à l'origine de mon autodestruction. Que faire ?

vendredi 15 juillet 2011

S'accrocher à un idéal et encaisser les coups.

J'aimerais être forte et me dominer en toute circonstance. Je voudrais être détachée de moi-même, de mes émotions, pouvoir cliquer sur pause et ne plus sentir ce bouillonnement intérieur. Je voudrais n'être pas esclave de moi-même. Mais qu'y puis-je ? J'ai le coeur à fleur de peau. Je fais de mon mieux pour ne pas flancher. Je reçois les coups, en essayant de ne rien dire, de ne rien montrer. C'est un duel silencieux, invisible. Mais sans que personne ne le voie, je repousse les limites mon être, je lutte contre moi-même, je prends sur moi. Au fond, je devrais sûrement remercier ceux qui sont à l'origine de mon mal-être puisque malgré eux, ils m'aident à grandir, ils m'apprennent à garder mon calme en toute circonstance. Je serais toujours sensible aux mêmes choses, il m'est impossible d'en faire abstraction, mais il m'est encore permis de faire croire aux autres que tout va bien. Et peu importe, si on me croit bête ou naïve, je ne flancherais pas ; au moins je serais résistante.

mercredi 13 juillet 2011

Cette journée est magique!

Elle avait déjà très bien commencé en sa compagnie.
Elle avait très bien continué avec la découverte d'un précieux éclat d'argent.
Elle avait très bien continué avec de bons moments et délire en cuisine.
Elle avait très bien continué avec les résultats de l'ENS qui confortent mes perspectives d'avenir.

Que me réserve-t-elle encore ?

mardi 12 juillet 2011

Des deuils difficiles à accepter.

Ils n'étaient pas mes amis, ils étaient bien plus que cela. Ils étaient à mes côtés jour et nuit, depuis des mois, parfois même des années. Ils me suivaient dans mes rêves et étaient avec moi partout. Ils ne contestaient jamais mes choix et approuvaient toujours mes décisions. Je croyais ne jamais m'en séparer, et je ne pouvais même pas songer à une telle éventualité, puisqu'ils étaient une partie de moi. Mais le sort en décide toujours autrement. Je vous ai perdu, et je sais que je ne vous retrouverais jamais, rien ne pourra vous remplacer, vous êtes uniques et maintenant que je ne vous ai plus, je ne peux que vous idéaliser. Vous, mes précieux. Vous, mes bijoux.




dimanche 10 juillet 2011

"Un assassin si beau qu'il faut pâlir le jour"

Incontestablement, méchamment, indéniablement, horriblement, atrocement, IGNOBLE.

"Sur mon cou sans armure et sans haine, mon cou
Que ma main plus légère et grave qu’une veuve
Effleure sous mon col, sans que ton cœur s’émeuve,
Laisse tes dents poser leur sourire de loup."
(Genet, Le condamné à mort)

Ton souffle tout contre ma peau, j'étouffe. Je suffoque. C'est trop.
Je ne suis pas habituée à toutes ces attentions, à la profondeur de tes regards dans la pénombre.

samedi 9 juillet 2011

Profiter de la vie, sans se prendre la tête. Car on peut faire de chaque moment, un moment avec ce "petit quelque chose en plus" qui le rend inoubliable.

mardi 5 juillet 2011

Première paye. Deuxième paye.

(A Macdo, les mecs sont morts de faim, dans tous les sens du terme.)