mardi 27 avril 2010

Horizons funestes.

Observe les nuances du rien
Je ne t'en aimerais pas moins.

Amour, amour, printemps, espoir,
Cachant notre sombre destin
De rêves et de nuits illusoires
Marche toujours et sans fin.

Observe le soleil du jour,
Et le malheur de nos amours.

Pour ne pas hâter ton trépas
Erre parmi les hommes sains,
Regarde mais ne parle pas,
Marche toujours et en vain.

Observe la douceur du soir,
Et les larmes de nos espoirs.

Oublie nous et songe à la lune,
Suis ta folie, trouve ta joie,
Cours vers cette vie opportune :
Douce union d'un toi et d'un moi.

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