jeudi 30 juin 2011

Instant fugace d'une vie éphémère

Racontons, si vous le voulez bien, le déroulement des événements récents.

1) Un parfait jeune homme qui m'ignore réapparait, pour instantanément disparaitre. J'ai beau essayé de lui trouver toute les excuses du monde, mon coeur s'en détâche peu à peu. Ne disons-nous pas "loin des yeux, loin du coeur" ? Mais après tout, qui a conquérit mon coeur, n'a pas de difficulté à le toucher à nouveau.

2) En effet, il est si facile de m'avoir que parfois j'ai l'impression d'être une mouche attirée par un pot de miel. Mais je ne suis pas une fille facile pour autant. Il faut encore savoir se faire mielleux. Et rassurez-vous, ce n'est pas donné à tout le monde. Seulement aux plus méchants.

3) En fait, je n'aime que les Julien Sorel et les Lucien de Rubempré. Il faut être vaguement méchant garçon pour me plaire un tant soit peu. Je veux un ignoble méchant au coeur d'or ; est-ce trop demander de vouloir un trésor ?

Ce n'est qu'après les souffrances que l'on peut être heureux. Le bonheur sans le malheur n'existe pas. Et c'est dans les moments les plus durs que l'on se rend compte de ce qui compte vraiment. Il faut parfois faire le deuil de ce qui n'est que superficiel, de ce qui n'est plus cohérent, et de ce que l'on juge inutile et nuisible pour repartir du bon pied. Je sais en quoi croire, je sais sur qui me fier. Je me trompe peut-être et même surement. Mais c'est aussi ça l'intérêt.

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