jeudi 4 février 2010

La fin du monde dans une goutte d'eau.



Un équilibre précaire, quelque chose qui ne tient qu'a un fil. Comptant tous les uns sur les autres, s'entraidant, et s'appréciant même si l'on ne se connait pas. L'illusion d'un autre monde qui défit et qui froisse la réalité. Laisser libre cours à son imagination, alors que ses yeux me transpercent même s'ils ne me regardent même pas. Il était si touchant avec ses manières d'enfant gâté. Se parant de milles attraits pour cacher la fragilité de son être, il voulait faire comme les autres ; il ne se rendait pas compte qu'ainsi il devenait lui-même. Et moi derrière tous ses faux-semblants, ses vestes à capuche, ses pantalons trop larges, et ses T-shirt soigneusement assortis à ses baskets, je voyais la fin du monde. Il n'existe pas de barrières plus infranchissables que celle qui séparent deux êtres se trouvant à deux mètres l'un de l'autre.


1 commentaire:

Narcissa a dit…

Tes articles sont toujours aussi jolis ^^

Au fait, tu rentres bientôt, faut vraiment qu'on se fasse une tite sortie ^^

Biyoux jtd!