dimanche 21 février 2010

Une pause s'impose.



 Avoir vécu à mille à l'heure, éprouvé des sentiments de dingues. Et n'avoir rien vu venir. Aimer et sourire, en l'espace de quelques heures. Croiser des gens, des mondes qui se baladent, chacun avec ses infinies possibilités. Se bousculer, crier, mais aussi éclater de rire, chanter, danser et partager. Etre jeunes et cons, être jeunes et fous. On ne prend pas assez le temps de dire que tout va bien, que le monde est beau, qu'il est coloré. On ne prend pas assez le temps d'aimer. De fermer des yeux et de souffler. Les meilleurs seront toujours là, les Pokémons aussi. Ils font parti de ma vie. 

Demain, tout changera, le monde s'effondrera surement, mais pour l'instant y a toujours un happy end à la fin des mauvais films américains. Alors, demain on s'en fout. 



1 commentaire:

Pauline G. a dit…

Et c'est justement parce qu'aujourd'hui il y a toujours un happpy end à la fin des mauvais films américains, que je préfererais être demain. Qu'il s'effondre le monde; je n'en peut plus de l'attendre.